POURQUOI PAS ?
Publié le 26/07/2024 | Billet d'humeur
Depuis un petit moment, j’ai rejoint une association faite par des jeunes de mon âge, engagés en politique.
On est quatorze amis, de collèges et de lycées différents.
Il y a quelques mois l’un d’entre nous s’est posé la question suivante : pourquoi pas ?
Pourquoi pas organiser des clean walk dans les parcs de Strasbourg ?
Pourquoi pas sensibiliser les gens à l’écologie ?
Pourquoi pas faire du tractage dans les rues ?
Tout ça dans un cadre bienveillant et une énergie nouvelle qui sent la jeunesse strasbourgeoise.
Lors de nos réunions, on glane et grappille du savoir au bord de l’eau, on réfléchit, on propose et on s’écoute.
Hier je suis allée tracter devant une école avec les membres de l’asso. Il faisait trente degrés j’avais un débardeur gris et une pile de papier entre les mains.
Au-delà de ce qui est écrit sur mes flyers moi j’aime avant tout débattre, que ça soit au lycée, en famille, entre amis ou même avec des inconnus.
J’aime comprendre le cheminement qui mène à l’opinion qu’a la personne en face de moi maintenant,
Être ouverte ça me permet de m’ouvrir au monde et mieux comprendre ce qui m’entoure.
J’ai eu ce déclic il y a un an tout pile.
Je m’étais fâchée lors d’un débat avec un garçon de mon collège et je me rappelle avoir eu honte car il avait plus
de savoirs et de connaissances que moi, il avait une aisance que je n’avais pas.
Je ne l’avais pas car je m’étais fermée, fermée à tout ce qui ne touchait pas au collège, comme bloquée dans une bulle.
Par la suite dans mon lycée j’ai petit à petit changé d’environnement, je me suis ouverte en rencontrant de nouvelles personnes, de nouveaux groupes d’amis tous différents, ce qui m’as permis de plus me sensibiliser à la différence pour également accepter la mienne, et petit à petit de glaner toujours un peu plus de savoir pour entretenir et approfondir cette culture comme mon petit potager et ceci, partout où je vais.
Mais encore

Des fois, c’est un dimanche gris et sans lumière et pourtant on se sent tellement bien chez soi, sur un…
DES FOIS

Salut, Je suis la fille de Valérie qui écrit habituellement ce billet d’humeur. D’ailleurs quand ma mère me lit les…
Le billet de la fille de Valérie Dietrich

J’ai si mal. Un jour sombre tu m’as écrit : « aujourd’hui je me suis lavé avec mes larmes ». Depuis une…
Maxime

L’édito de Valérie Dietrich Paru dans Bibouille #68 Depuis ma sortie de cette période de l’enfance où je me…
Questions de fille(s)

Je me souviens avoir commencé à écrire ce billet quelques petits mois avant de tomber enceinte. J’ai évoqué la découverte…
LA BOUCLE EST BOUCLÉE

Après avoir essayé de vous convaincre de mettre vos enfants au repos, le professeur s’intéresse de plus près au mot…
Une partition mouvementée

L’été pointe le bout de son nez et pour la première fois j’ai programmé à l’avance cinq jours pour changer…
Coquillages et crustacés
Mon collège idéal

Depuis pas mal de temps, le Professeur Ouille se demande ce qui pousse notre société à survaloriser un passé abusivement…
La nostalgie tarifiée

Au moment où j’écris ces quelques lignes il fait gris, froid. Comme chaque année à cette époque, je rêve le…
À CORPS PERDU ?

Je sais rarement à l’avance ce que je vais raconter. De quoi va parler mon prochain billet. Ce n’est qu’au…
Tant va la cruche à l’eau…

Sites Internet, médecins, télévisions, affichages urbains, supérieurs hiérarchiques… Ce coup-ci, le Professeur avoue qu’il n’en peut plus de voir et…
Infantilités croisées

Quand la folie du politiquement correct aura transformé notre monde en champ aseptisé et les enfants en produits pasteurisés, le…
Des comptines belles et rebelles

Jouer est une véritable passion pour moi. Non pas jouer à un jeu de société, de cartes, de plateau ou…
DIS, ON JOUE ?
Épilogue ?

Quand au moment de la préparation de ce numéro Lucie nous a invités à nous questionner sur l’hospitalité, j’ai immédiatement…